Selon Abraham de Bettencourt, un agent immobilier, une nouvelle règle frappe le marché immobilier bruxellois depuis quelques semaines… La délivrance des renseignements urbanistiques est devenu obligatoire et accessible à toute la population bruxelloise. A présent, toute personne désirant acheter un bien à Bruxelles aura le droit de demander au préalable une demande de ces renseignements urbanistiques qu’il recevra dans les 30 jours. Pire encore: il n’est désormais plus possible de signer un compromis de vente sans avoir reçu le document requis. Cette dernière nouvelle a mené incontestablement les acquéreurs à être plus vigilant à ce niveau, chose qui ne l’était pas forcément dans le passé…
En effet, cette clause a été imposée dans le but de protéger l’acquéreur et le mettre en garde car de nombreuses infractions peuvent surgir quant au prix d’achat d’un bien. C’est alors à l’acquéreur que revient la responsabilité financière de payer ce bien sans pouvoir manifester car l’acte est signé.
Toute l’importance de ces précautions mérite de s’adresser avant toute chose à un professionnel de l’immobilier qui pointera l’attention sur certains éléments qui pourrait poser problèmes lors de la mise en vente de son bien.
La responsabilité d’un professionnel de l’immobilier peut être engagée en matière d’infractions urbanistiques car son rôle était d’attirer l’attention sur tel ou tel élément facilement remarquable par lui et pas chez un particulier. Ce cas peut être entre autre selui d’une véranda pour laquelle une vérification aura été nécéssaire ou d’un problème d’affectation d’un immeuble de rapport.
En ce qui oncerne la Wallonie, Marc Guilmont, un autre agent, rétorque que le parlement a assoupli ses règlementations en matière d’infractions urbanistiques. Ainsi depuis ce 1er juin dernier, la construction sans permis d’une véranda, d’un abri de jardin, d’une piscine, de l’abbatage d’arbres ainqi que d’un vélux et d’un carport seront désormais des infractions mineures traitées avec plus de souplesse qu’avant. Pour autant que ces infractions aient été commise avant 1998, elles ne seront plus sanctionnés par des poursuites juidiciaires ou administratives! Le décret prévoit cepedant un délai de prescription de 10 ans pour les infractions mineures plus récentes. Par exemple, dans le cas d’un abri de jardin construit en 2010, celui-ci sera automatiquement considéré comme légal en 2020.
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